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Tipeee.com. Tipeee en 47 secondes ! YouTube, 24 juillet 2014 (0:47)

 
Pour toute question, merci de bien vouloir utiliser le formulaire du site.
J'en ai ma claque de la pureté militante, des injonctions, de la toxicité ambiante, de la haine de l'autre, des guerres internes, des polices de la perfection, des fausses convergences des luttes, de l'homogénéité d'opinions semble-t-il obligatoire, de l'interdiction des nuances. J'en ai ma claque que l'on parle à ma place, que l'on me colle des étiquettes, que l'on me prête des intentions qui ne sont pas les miennes, que l'on interprète volontairement mal mes propos, comme pour trouver des justifications douteuses à de l'animosité préexistante ne laissant place à aucune discussion. J'observe un milieu tendant tristement vers le toxique, perdant de son essence, s'auto-détruisant sans que je ne puisse en comprendre les raisons et motivations. Je vois le militantisme actuel comme un tourbillon cannibale et non plus "autophage" qui réduit au silence ses voix les unes après les autres. Ce compte était une expérimentation dans le cadre de la rédaction de mon mémoire, et j'ai effectivement beaucoup appris, MAIS. Mais est arrivé ce moment. Ce moment où la crainte des dérives de mon propre milieu devient plus énergivore que ce que je souhaite combattre. OK. Je change donc de stratégie. Je reviendrai en avril et je ne militerai plus, ou en tout cas plus directement. Ce compte sera culturel. Vous y trouverez des outils pour prendre du recul sur le monde et ses enjeux, et pour construire plus aisément vos propres opinions. Nous parlerons toujours mais différemment de "développement" durable, de féminisme, de sciences cognitives et comportementales, de santé, d'art, de philosophie, et nouveauté, de Paris, au travers d'histoires "à la Roxane" pour une prise de recul. Les fictions reviendront également de manière régulière. D'autres points sont encore en réflexion. Je reste très engagée, je prends simplement les décisions qui me permettent de rester efficace tout en gagnant en tranquillité d'esprit. J'aimerais que ce compte soit agréable et intéressant. Je ne cherche pas à faire de ce post quelque chose de larmoyant, puisque je vais bien. Je ne cherche pas non plus à récolter des likes. C'est un constat. Alors à très vite, dans un espace bien plus solaire. ❤
J'ai 33 ans. J'ai 33 ans (presque 34), et je ne vis pas extrêmement bien cette période, mi-étrange, mi-attendue, quoique plutôt en avance et baignée d'un contexte bien différent de tout ce que j'avais ou aurais pu imaginer. Mais je peux choisir de m'en accommoder, car j'ai 33 ans. Plus le temps passe, et plus je me sens chanceuse. Je crois que ma génération a en effet eu énormément de chance. Nous avons grandi sans internet, sans téléphone, et y avons eu accès à l'adolescence, alors que nous avions déjà bien savouré et arpenté la vie "sans", pile au bon moment, donc. Nous avons tout eu, avec en tête de nos privilèges, l'insouciance. Nous avons pu très sincèrement nous construire des rêves, de réelles projections à long terme, féériques parfois, mais toujours sereines. Oui, sereines. Nous avons eu la chance de pouvoir rêver à un avenir sans nuage. Ce n'est plus le cas. Le changement climatique et le Covid sont passés par là, et les jeunes le savent, le ressentent, plus que n'importe qui d'autre. Nous, adultes plus ou moins âgé.e.s, avons déjà "vécu" notre jeunesse, et pouvons donc nous accommoder (plus ou moins efficacement, certes) de ce qu'il se passe. Nous pouvons choisir de - tenter de - "profiter" de cette période à la manière d'une pause, de mois suspendus au bout desquels - nous l'espérons - la vie normale reprendra. Nous prenons le temps de faire des choses que nous mettions de côté, de nous reposer, de lire, de faire passer les heures sans qu'elles ne paraissent trop lourdes. MAIS. Qu'en est-il de la jeunesse ? Les adolescent.e.s et jeunes adultes qui construisent actuellement leur vie, qui tentent d'étudier, de s'en sortir, de construire leur vie sociale, amoureuse, de SE construire. N'oublions jamais de faire un exercice, en toutes circonstances, celui d'essayer de se mettre à la place des autres. Chèr.e.s étudiant.e.s, chèr.e.s adolescent.e.s, chèr.e.s jeunes adultes qui me suivez, quelles difficultés rencontrez-vous, et surtout, comment pouvons-nous vous aider ? N'hésitez pas à tagguer les associations à soutenir œuvrant en ce sens. ⁠Prenons - plus que jamais - soin les un.e.s des autres. ❤
Pendant que nos gouvernements ne font absolument rien, - à part aggraver les choses - il semblerait que la nature ait décidé de nous botter le culcul afin de (spoiler) nous sauver. Malheureusement, pendant que les principaux criminels ne risquent rien (pour l'instant), les personnes touchées sont généralement celles dont le mode de vie n'affecte que peu le climat. Et si le Covid n'était que le début ? Sommes-nous au début de l'éffondrement tant redouté (ou pas) par les théories collapsologues ?
D'après vous, l'arrivée de la pilule contraceptive a-t-elle réellement été synonyme de révolution sexuelle pour les femmes ?⁠
"Yazid Kherfi est un homme de soixante ans au parcours extraordinaire. Il a fondé Médiation Nomade (@mediationnomade) en 2013, une association qui vise à ouvrir un espace convivial en soirée au cœur de la cité afin d’accueillir des publics parfois en errance, notamment des jeunes. Plusieurs soirs par semaine Yazid se déplace dans les quartiers prioritaires dans toute la France pour aller à la rencontre des familles mais aussi et surtout des jeunes qui 'ne croient plus en rien'". ⁠
Le contexte : Je me fais régulièrement insulter (disons les choses comme elles le sont) lorsque je parle des femmes, notamment sur le sujet de la contraception. On m'ordonne (disons les choses clairement encore une fois) de ne plus dire "femmes", mais "personnes menstruées", afin d'inclure les hommes trans (ayant leurs règles), ainsi que les personnes non binaires. Si je ne me plie pas à ces "règles", alors je suis automatiquement cataloguée de transphobe, sans aucune espèce de débat possible, en se basant uniquement sur une interprétation de la forme de mes mots, et en occultant volontairement le fond (ce qui me questionne, d'ailleurs). Or, je m'adresse en immense majorité à des femmes cis en difficulté avec leur parcours contraceptif depuis leur adolescence. Cela ne veut pas dire que je suis volontairement excluante. Mon discours est simplement GÉNÉRAL, afin de toucher le plus grand nombre. (Il me serait de toutes les manières IMPOSSIBLE d'être systématiquement parfaitement inclusive). Pourquoi je parle de ce sujet alors que je sais pertinemment qu'il est ultra sensible ? Car il est tabou, justement, et que je vois de plus en plus de personnes se taire, ne sachant plus comment s'exprimer sans risquer de se retrouver face à une armée de trolls au service d'une espèce de dictature de la sémantique (et de la pensée) face à laquelle nous devrions forcément plier, sans quoi nous serions cancel. Et c'est ça, le véritable problème. Ces injonctions - basées sur un fond certes militant - qui se transforment beaucoup trop souvent en dérives menant à la haine de tout.e contrevenant.e aux nouvelles lois édictées, le plus souvent sans aucune autre raison qu'un élément de discours décrété comme n'étant désormais plus convenable. Aussi je me pose quelques questions : Ne pas inclure veut-il forcément dire exclure ? La forme supplante-t-elle le fond ? Qu'en est-il de la nuance ? De l'intention ? De la diversité des opinions ? Faut-il céder face aux injonctions ? Le mot "femme" n'est-il plus acceptable ? Ceci n'est pas un post ouin-ouin. J'aimerais que les commentaires soient constructifs et bienveillants. Il nous faut absolument en discuter calmement et avec respect !
"Posez la question autour de vous : nombre de femmes ont eu à affronter durant leur vie les conséquences d'une pilule, d'un stérilet, d'un patch ou d'un anneau contraceptif. Si la plupart sont satisfaites de l'efficacité de leur méthode de contraception, elles déplorent aussi les effets secondaires ou en redoutent les risques pour leur santé. Pourtant, le phénomène est encore largement invisibilisé voire banalisé, quand il n'est pas nié."⁠
Qu'est-ce que cette citation évoque pour vous ?
Pour aller plus loin concernant le ghostwriting, avec un exemple concret.
À votre avis, pourquoi ?⁠
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