Nous n’avons plus de farine de blé.
J’aime à penser que l’adversité nous rend créatifs et plus sains d’une certaine manière.
Nous retrouvons la valeur des choses. Nous retrouvons notre lien aux choses. À la nourriture qui autrefois apparaissait comme par magie dans les rayons des magasins.
Nous redevenons raisonnables. Nous n’avions pas imaginé le bon qui adviendrait de tout ça. Sans doute avions-nous perdu espoir en l’humain, au vu des dirigeants que nous avions comme représentants.
Nous n’avons plus d’œufs non plus.
Il nous reste de la farine de pois chiches, de l’eau, de l’huile et du sucre. J’ai fait des biscuits légèrement frits à la poêle. C’était bon. Chaud.
Rassasiant.

À suivre …


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